Petite histoire d’ordinateur

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Je vous expliquais, il y a peu, que j’étais une amoureuse d’écriture, au sens propre du terme. Je préfère mille fois mieux tenir un crayon et noircir des feuilles volantes plutôt que d’inventer mes histoires devant mon écran d’ordinateur.

Et pourtant, c’est bien une histoire d’ordinateur que je vais vous conter aujourd’hui. Je n’ai jamais été une fana de nouvelles technologies (et je dirais même de technologie tout court). En y repensant bien, je crois que dans toute ma vie, je ne me suis achetée qu’un seul ordinateur et encore, je crois qu’il était d’occasion. Depuis, je récupère souvent ceux de mon chéri, accro quant à lui aux nouvelles technologies et qui, par conséquent, en change régulièrement (pas tous les ans non plus je vous rassure). Toujours est-il que depuis quelques années, l’ordinateur qui m’accompagne, un portable, commençait à montrer quelques signes de fatigue. Première chose, je ne peux plus l’allumer sans le brancher à une prise, la batterie a lamentablement lâché prise (rho le jeu de mot !) depuis plusieurs mois déjà. Deuxième chose, il manque quelques touches au clavier (notamment la touche « Entrée ») mais dont on ne se rend finalement pas trop compte vu toutes les saletés, poussières et autres miettes qui ont comblé les places laissées vacantes. Et troisième chose, et ça, ce n’est pas un signe de fatigue mais tout simplement une faiblesse innée : il est LOURD… C’est bien un ordi portable, je vous l’assure, avec un écran tout ce qu’il y a de plus honorable mais j’ai l’impression de transporter un veau à chaque fois que je prépare mes affaires pour ma journée de boulot (et je vous rappelle aussi que je dois emmener le chargeur, encombrant à souhait également).

Il y a quelques jours, j’ai bien dû me rendre à l’évidence : je ne le supporte plus !! Et je pense que cela a bien un rapport avec ma difficulté à me replonger dans Sheyanne tant le fait de le transporter, le brancher et procéder à toutes les petites attentions dont il a besoin me prend la tête, tout simplement.

A grands maux les grands moyens, me voilà donc toute décidée à m’acheter (oui, oui, un tout neuf, un rien que pour moi) un nouvel ordinateur portable. Rien de trop compliqué, j’en cherchais un léger, pratique, avec un écran pas non plus riquiqui pour me permettre de composer de jolies histoires sans me ruiner la vue.

Cette petite virée shopping a donc eu lieu hier, où j’ai convié tout d’abord mon cher et tendre à m’accompagner pour mieux me conseiller. Parce que moi, les histoires de giga, mégabits et mémoire externe-disque dur et compagnie, je n’y comprends que couic ! Après avoir observé et identifié les différents types de produit, j’ai jeté mon dévolu sur un mignon petit ordi tout léger avec un écran tactile (mouais, pas encore hyper en confiance avec ces machins-là) mais tout beau et avec qui je sens je vais partager de belles aventures…

Je vous ferai grâce de l’histoire du vendeur qui a essayé de me rouler en essayant de me refourguer discrètement un modèle qui avait déjà fait l’objet d’une première ouverture (oh ben non, hein) et d’une première utilisation (alors ça, impossible! personne ne touche à mon bébé!), je peux simplement vous dire que je vais donc récupérer cette petite merveille samedi ou mardi.

En attendant, sa belle sacoche de protection et de transport l’attend déjà bien chaudement à la maison !

Une réponse "

  1. Ah c’est toujours un grand moment, l’arrivée d’un nouvel ordinateur ! Pour ma part je suis plutôt un geek, mais je comprends tout à fait ta joie, surtout si ta machine précédente était lourde, sans batterie, et avec un clavier abimé… Bénéficier d’un ordinateur confortable, ce n’est du luxe pour écrivain, étant donné que c’est son outil de travail. Félicitations ! 😀

    • Merci ! Ben oui, même si je ne suis pas une accro, il faut bien admettre que je ne peux pas faire grand-chose sans ordi ! Pas fan de nouvelles technologies mais fan tout de même d’Internet et compagnie ! 😉

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